[vc_row][vc_column][vc_column_text]Détérioration due à l’usage répété, l’usure évoque l’effacement, l’effritement, la disparition. Et pourtant, le chorégraphe et danseur hip hop Brahim Bouchelaghem aborde le thème de l’usure dans sa dimension fructueuse et bénéfique, à savoir la mesure, la résistance et la persistance : ce qui reste résiste ! Sept interprètes évoluent sur scène, « portés par une musique électro, avec une pièce faite de tableaux qui amènent une gestuelle douce et une forte présence des bras. Le chorégraphe utilise le principe du mouvement répétitif qui justement, à force d’être répété, change, évolue, se renouvelle au cœur d’un corps qui sait s’adapter et continue de danser. »* L’usure, un cadeau du temps, comme une nouvelle ressource pour se réinventer et aborder le processus créatif autrement.
*Aurélie Mathieu / lyoncapitale.fr[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]